Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National
Profitant des manifestations contre la néfaste loi Travail, des centaines de fascistes issus des milices d’extrême-gauche spécialisées dans le saccage de nos villes ont mis à sac un quartier entier de Paris. Quelques heures après l’atroce attentat de Magnanville, qui a pourtant coûté la vie à un couple de policiers, ces fascistes encagoulés et armés hurlaient des slogans violents contre la police, les prenaient pour cibles, brisaient des devantures de magasins, détruisaient des biens publics et atteignaient le comble de l’ignominie en attaquant l’hôpital Necker-Enfants malades.
Pendant ce temps, le ministre de l’Intérieur Cazeneuve et son premier ministre Valls bavardaient et se contentaient une énième fois de condamner verbalement ces événements, sans en tirer la moindre conséquence pratique.
Trop c’est trop : le refus assumé et répété de dissoudre les organisations fascistes d’extrême gauche qui multiplient ces violences constitue une forme évidente de complicité du gouvernement avec ces milices.
Quand il est dans l’inaction et le laxisme, le pouvoir est complice. Quand il refuse de sévir, il est complice. Quand il refuse de bloquer les casseurs étrangers à nos frontières nationales, il est complice. Quand il refuse de reconnaître l’existence de réseaux structurés spécialisés dans la violence, il est complice. Quand il ne donne pas des ordres clairs aux forces de l’ordre et qu’il laisse la justice s’enfoncer dans le laxisme, il est également complice.
Cette complicité doit cesser, et c’est partout l’ordre et l’autorité qui doivent l’emporter.