Hier au Conseil communautaire ACCM, Pierre CHENEL et Jean-Pierre MAGINI intervenaient pour le groupe Front National sur l’échec de la « politique de la ville ».
La politique de la ville en France c’est dans les territoires concernés, un taux de chômage deux fois plus important qu’ailleurs…
La Cour des comptes soulignait en 2012, le manque d’évaluation fiable de l’efficacité de ce dispositif : plus de 12000 associations bénéficient en France de crédits de la politique de la ville trop souvent saupoudrés « sans engagements sur les objectifs » et avec une « absence de contrôle ».
La politique de la ville renforce le clientélisme des élus locaux qui échangent contre bonne tenue quelques subventions aux associations satellites, et à des individus qui pourront servir de relais d’information et d’apaisement des colères.
C’est la voie ouverte au bidouillage associatif, au placement des potes, aux pré-campagnes électorales… Il n’y a pas que les élus qui profitent du système.