Selon Valeurs Actuelles la Ligue de l’enseignement, peut compter sur un pactole de 289 000 euros offert par les députés PS pour tenter de contrer le Front National…
Fautes d’idées et de projet pour le peuple Français, les socialistes agitent la monnaie tout en imposant une politique d’austérité…
Coulisses. Dans le plus grand secret, Bruno Le Roux, le président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, a pris l’initiative de s’associer avec la Ligue de l’enseignement pour constituer « un fonds dont la vocation serait de venir en soutien à la vie associative et à la société civile dès lors que l’une ou l’autre serait l’objet de sanctions et brimades idéologiques caractérisées » dans l’une des douze villes passées sous pavillon du Front national en mars dernier…..
Dans un courrier daté du 24 juillet 2014 que nous avons pu consulter, Bruno Le Roux enjoint ses collègues d’abonder une véritable caisse noire pour lutter contre les municipalités FN. « Le groupe socialiste à l’Assemblée nationale décide d’inviter chaque député membre à attribuer une subvention au titre de sa réserve parlementaire pour l’année 2015 à concurrence minimum de 1000 euros, à la Ligue de l’enseignement, opération Solidarité, progrès et démocratie. »
Sur le papier, il ne s’agit là que d’une invitation. Dans les faits, il s’agit de rien de moins qu’un « racket organisé », selon l’expression d’un parlementaire socialiste qui goûte peu les méthodes de son président et le détournement qui est fait de la réserve parlementaire. Il est en effet difficile pour les députés de la majorité socialiste de se soustraire à cet effort de guerre. Sauf à motiver un refus. Mais on ne peut imaginer qu’un député PS puisse se défausser sous peine d’être accusé de complicité passive avec l’ennemi frontiste. Impensable ! Si bien que Jean-Marc Roirant, le secrétaire général de la Ligue de l’enseignement, peut compter sur un pactole de 289 000 euros pour « entreprendre toute campagne qui serait jugée utile pour promouvoir les valeurs républicaines », selon le cahier des charges établi avec Bruno Le Roux.
lannevere daniel
2 janvier 2015 à 20:03
On reviens toujours a dire la même chose:
Réviser a la baisse la dotation des députés
Sanctionner financièrement toute absence
Supprimer certains privilèges non justifiés avec effets rétro-actif
Résultats: économie non négligeable
et la cerise sur le gâteau:
Suppression du Sénat