Pourquoi parler de « politique de la ville » comme une politique spécifique ? Alors que les problèmes relèvent de politiques globales notamment en matière d’emploi et de services publics.
Il est urgent de tirer un trait sur les politiques de la ville inefficaces et coûteuses pour les contribuables français.
La gauche promet toujours plus de subventions pour les quartiers, se drapant ainsi dans une posture humaniste qui n’a d’humaniste que l’apparence.
Et pourtant on constate une augmentation des vols à main armé, des violences contre les personnes et la nocivité et violence des bandes toujours plus enracinés dans des quartiers hors contrôle qui sont leurs fiefs : pourquoi l’UMPS a lamentablement échoué ?
Enfin, cette politique de la ville renforce le poids des élus locaux qui peuvent échanger contre bonne tenue quelques subventions ou promesses de logement aux associations satellites, et à des individus qui pourront servir de relais d’information et d’apaisement des colères (la promesse de vote est aussi acceptée).
C’est aussi la voie ouverte au bidouillage associatif, au placement des potes, aux pré-campagnes électorales… Il n’y a pas que les élus qui profitent du système.
En limitant le traitement des problèmes sociaux à des conséquences géographiques et en s’appuyant sur des personnalités jugées “influentes” dans ces quartiers on alimente les communautarismes ethniques, sexuels, religieux…

La politique de la ville renforce le poids des élus locaux qui peuvent échanger contre bonne tenue quelques subventions ou promesses de logement aux associations satellites, et à des individus qui pourront servir de relais d’information et d’apaisement des colères (la promesse de vote est aussi acceptée).