Communiqué de Jean-Marie Le Pen, Président d’Honneur au Front National
Contrairement à ce que certains journalistes en mal de polémiques ou certains opposants politiques en manque d’arguments affirment, la paternité de la devise « beaucoup d’ennemis, beaucoup d’honneur », que j’ai citée lors de mon dernier journal de bord de vendredi dernier, n’est pas attribuable à Mussolini mais, quatre siècles plus tôt, au chevalier Georg Von Freundsberg, au service de l’Armée d’Espagne, qui la prononça lors de la bataille de Vicence en 1513.
Que cette maxime devenue populaire depuis lors ait été reprise par Mussolini lui en donne-t-il l’exclusivité et l’empêcherait-elle d’être citée jusqu’à la fin des temps ?
Ces réactions malhonnêtes me remémorent ces vers de Kipling :
Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles,
Sans pour autant mentir toi-même d’un seul mot ;
(…)
Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis…
En espérant que ce poème n’ait jamais été cité par des personnalités politiquement incorrectes…