Communiqué de presse de Marine Le Pen, vice-présidente du Front National
L’intervention hallucinante de la « big mother » en chef, Mme Reding, a l’immense mérite de mettre en lumière le pouvoir insensé réellement conféré à une clique de technocrates sans légitimité. Elle constitue la démonstration pratique et édifiante des transferts successifs de souveraineté nationale que nos dirigeants, de droite comme de gauche, ont pitoyablement concédés au détriment de nos intérêts vitaux.
Sûrs de leur domination sur les peuples, les ayatollahs européistes de la Commission croient désormais pouvoir assortir leurs funestes fatwas moralisatrices de menaces et d’insultes publiques.
Avec cette affaire, chacun ne peut aujourd’hui que constater la pertinence de l’analyse du Front National sur le caractère liberticide de cette machine nommée « Union européenne » : le peuple français est aujourd’hui bel et bien dépossédé de sa souveraineté monétaire, budgétaire, économique, législative et territoriale.
Face à l’injure inadmissible faite à la France, les coups de menton de Nicolas Sarkozy relèvent du dérisoire et du faux semblant.
Seule véritable opposante à l’insupportable soumission des Français à la dictature de Bruxelles, Marine Le Pen, vice-présidente du Front National, demande que la France suspende immédiatement sa contribution de 20 milliards à l’Union Européenne et impose l’ouverture immédiate d’une renégociation du traité de Schengen sur la libre circulation. Elle appelle tous les Français à faire valoir pacifiquement et démocratiquement leur droit de résistance à l’oppression et leur droit de résistance à l’occupation.