Maxime Gremetz, le député communiste en froid avec son parti d’origine, a été condamné hier, comme un “vulgaire salaud de patron” par la cour d’appel d’Amiens à verser plus de 50.000 euros au total à quatre anciens collaborateurs pour licenciement abusif.
Réaction du stalinien : “Le procès politique continue. On va se pourvoir en cassation”. Quand on sait qui prononce ces mots..
Ainsi, le député de la Somme, avait été condamné en juillet 2008 par le conseil des prud’hommes d’Amiens pour avoir licencié en octobre 2005, pour “faute grave”, Frédéric Hardy, son attaché parlementaire, et deux autres collaborateurs, Marie-Pascale Annoot et Vincent Gosset. Gremetz les accusait de déloyauté politique. Il avait par la suite licencié pour “incompétence” un quatrième salarié, Jihad Wachill.
Le conseil des prud’hommes avait jugé irrecevables les motifs invoqués, et condamné Maxime Gremetz à verser plus de 20 000 euros à Mme Annoot, près de 14 000 euros à M. Hardy, 12 500 euros à M. Gosset et 6 000 euros à M. Wachill. La cour d’appel d’Amiens a confirmé le montant des indemnités accordées en première instance aux plaignants. Et pan sur le bec du coco !
Templier
18 juin 2009 à 14:03
Ah, ces communistes ! Toujours plein de ressources….
Nord-Armentieres
21 juin 2009 à 7:16
« Maxou » pour les intimes!!! Maxou il faut arrêter la pipette Vodka.. scientifiquement c’est reconnu..l’alcool fait des ravages sur le visage..en voici un exemple..Gloops mdrrrrr
républica
19 avril 2011 à 17:10
Alors, LE COCO BOURGEOIS, le PCF est avec la CGT CFDT et il est intersdit de licencier dans votre partit, faites entrer d’autres malheureux pour qu’ils deviennent des ésclaves à votre image SALAUD DE COMMUNISTE !!!