En 1981, Georges Marchais réclame « l’arrêt de l’immigration » et dénonce « le risque de ghettos dans les communes ouvrières ». Il demande aussi plus de sévérité contre la drogue et la délinquance. Violemment attaqué par le PS et l’extrême-gauche, Marchais riposte : « Quelle idée lamentable se font ces gens-là des travailleurs : Bornés, incultes, racistes, alcooliques, brutaux, voilà comment seraient les ouvriers et les ouvrières! De telles attaques ne déshonorent que leurs auteurs et ne méritent que le mépris ».