« Les agresseurs et la victime ne se connaissaient pas. Il n’y a pas eu de vol. Ils se seraient juste croisés au mauvais moment. « Une bousculade, un regard de travers », auraient suffi à déclencher les hostilités, selon un enquêteur.
Vers 1 h 40, dans la nuit du 14 au 15 juillet, Thierry Bricault, un Nantais de 45 ans, est roué de coups par deux hommes, place du Bouffay, dans le centre de Nantes.
L’un l’aurait d’abord frappé, le projetant au sol. Le second se serait ensuite acharné sur lui. Le visage tuméfié, Thierry Bricault décédera d’une hémorragie abdominale, à 3 h, au CHU.
De nombreux témoins assistent à la scène. Huit se manifesteront. L’un d’eux s’avérera déterminant.
Mardi, au commissariat, ce témoin clé donne une description et l’adresse du principal suspect. Aussitôt, deux policiers de la brigade criminelle se rendent au Foyer de jeunes travailleurs (FJT) où il réside. Là, quatre jours après le début de l’enquête, ils tombent sur les suspects, prêts à partir en voiture.
«C’était mardi vers 17 h, raconte un ouvrier d’un chantier voisin. Deux policiers sont arrivés devant une Clio sombre, ils ont braqué leurs pistolets sur ses quatre occupants et ont demandé à voir leurs papiers. Ils n’ont pas résisté.» Deux suspects seront relâches. Un Sénégalais de 25 ans et un Polynésien de 22 ans étaient toujours en garde à vue, hier soir.
La direction du FJT ne cachait pas son désarroi. Le suspect principal habitait au 3e étage du foyer « depuis mars ». Il avait, semble-t-il, décroché « un CDI dans le bâtiment ». Un voisin de pallier parle d’« un grand black, plutôt baraqué, avec un visage dur ».
Mais peu de résidents le connaissent. La plupart se souviennent « des visites régulières d’amis de l’extérieur du foyer » et « des soirées arrosées avec de la musique à fond ».
Le soir du drame, le veilleur de nuit a noté que la musique chez le suspect a réveillé le voisinage. Le jeune homme de 22 ans, peu connu de la justice, n’avait, semble-t-il, pas de travail.
Hier matin, les policiers ont perquisitionné l’appartement au foyer. Des vêtements ont été saisis pour effectuer des analyses. Les deux suspects auraient reconnu les faits, en restant « confus » sur la chronologie de la soirée. Le parquet envisageait, hier, d’ouvrir une information judiciaire pour « coups mortels ». »
Source: http://www.ouest-france.fr/
Edouard
23 juillet 2007 à 15:54
Il y aurait il des articles mettant en cause (en tant qu’agresseurs) pour des actes de coups et blessures des personnes françaises blanches d’origines francaises sur ce blog ?
frédéric
26 juillet 2007 à 14:12
Edouard,
Pas besoin de blog pour mettre en cause des français de souche, suffit de regarder la tv française, qui au mépris de la triste téalité de ce pays n’hésite pas à travestir, relayer, des informations qui deviennent trop souvent de tristes canulards.
laroque
31 décembre 2008 à 16:29
je me permet d’ecrire car l’article si dessu et surtout les commentaires de la personnes a suivre mintrigue … je suis la femme d’un des deux agresseurs de cette terrible aventure et une petite fille de 4 ans avec lui . Malheureusement voila quelques mois auparavent kil buvai ( alors qu’avant il ne buvait pas une goutte d’alcool) grace et merci au bon FRANCAIS qui travaillia avec lui dans le batimen et kapres la travail lui disai de venir boire une biere!!! c’est la ke tout a basculer … j’ai du moi ossi me separer de lui…. il est en prison et pour longtemp alor laisser le assumer ces actes et arreter de publier des choses fausses car tout ne sai pa passer ainsi … je ne suis en aucuns cas d’acord avec ses actes horribles mais laisser cette histoire aux mains de la police et nos a celle des journalistes
Fredusud
31 décembre 2008 à 19:12
Laroque,
Tout d’abord, cette affaire remonte à 2007, ensuite l’alcool (produit de la civilisation occidentale) n’est pas une circonstance atténuante pour votre compagnon. Imaginez un instant que je frappe un individu à mort ! parce que (imaginons toujours) j’ai abusé de substances hallucinogènes, serai-je pardonnable ? J’espère que non !
D’autre-part je peux compatir avec votre souffrance pour avoir eu un proche membre de ma famille en prison.
Mais cela ne fera pas revenir la victime à la vie. Le plus cher pour moi c’est la vie, la vie de Thierry Bricault, cette vie que certains n’ont pas hésiter à lui oter pour un regard de travers…
val
21 mai 2009 à 11:40
bonjour
moi je parle car c’etais mon oncle
et je trouve sa degeullase pour se qui’l son pris la justice ne leur a pas donner assez pour se k’il on fait subir a mon oncle c’est degeullasse j’aurrais bien aimé k’il subise la meme chose
voilà je pousse mon coup de geulle je suis triste juste pour un regard on tue un homme c’est horrible
voilà